23/11/2007

Présentation
















Un jour, j’aimerais visiter une usine à paysage, une vraie. Il paraît que ça existe en Chine.

Ce présent texte est l’écho de la manière dont j’entends diriger ma future entreprise: l’Usine à Paysage. À travers les mots suivants, vous découvrirez une description de l’entreprise, un résumé de l’expertise entrepreneuriale du futur leader, une définition précise du Paysage concerné, l’impact social et artistique désiré par l’entreprise ainsi qu’un discours sur le management.

Description de l’entreprise

L’Usine à Paysage est a priori une manufacture de paysages peints à la main et fabriqués à la chaîne. Artistes professionnels, artistes émergents et la population sont conviés à participer à cette performance de production artistique. Chacun devient alors spécialiste : de la ligne d’horizon, de la montagne, du ciel, des arbres, du lac, de la plage, du titre, du recadrage ou du logo; éléments constitutifs du Paysage de base.

La mission fondamentale du projet est de provoquer des rencontres, de démystifier le travail de l’artiste, d’éduquer par l’expérience, l’immersion. À cette fin, chaque intervention met en relation des initiés et non initiés aux arts visuels.

Cependant, il est nécessaire de préciser que l’Usine n’a pas comme projet unique la manufacture. Elle cherche avant tout à rallier la communauté artistique à la population globale en promouvant le paysage par divers médiums: manufacture telle qu’expliqués ci-dessus, film d'animation, site Web , affiche médiacom, vélo-pub, modélisation 3D, graphisme, photographie, toit vert (illusion picturale et réelle), etc. Dans une seconde phase de développement, l’Usine à Paysage deviendra un centre de recherche sur le Paysage accueillant des résidences d'artistes/chercheurs multidisciplinaires.

De plus, l’Usine tend à faire valoir l'importance du paysage réel (l’environnement) en créant des partenariats d’affaires avec des entreprises dites “socialement et écologiquement responsables”. L’Usine intègre aussi les préoccupations environnementales dans l’approvisionnement des matériaux et la gestion de ses opérations.

Enfin, l’entreprise cherche à démontrer l’artiste-leader-entrepreneur comme étant une voie communément empruntée par plusieurs. Le rôle de l’artiste n’est plus d’agir seul dans son atelier, mais d’impliquer la communauté à l’expérience créatrice.

Ce projet s’inscrit donc dans une recherche artistique, sociale et entrepreneuriale.


Contexte


À l’époque de mes études en arts, je questionnais le processus créatif en élaborant diverses méthodes de production picturales. D’ailleurs, c’est à la recherche de l’œuvre inachevée ou plutôt de l’infinitude que commença la production sérielle. La question posée était simple : où commence et où finit la peinture? Enfin, une décortication du processus pictural entama le mécanisme. Puis tranquillement, cette recherche décala vers une idée précise : le Paysage.

Michel Foucault explique bien cette idée d’infini: “Mais le rapport du langage à la peinture, est un rapport infini. Non pas que la parole soit imparfaite, et en face du visible dans un déficit qu’elle s’efforcerait en vain de rattraper. Ils sont irréductibles l’un à l’autre: on a beau dire ce qu’on voit, ce qu’on voit ne loge jamais dans ce qu’on dit, et on a beau faire voir, par des images, des métaphores, des comparaisons, ce qu’on est en train de dire, le lieu où elles resplendissent n’est pas celui que déploient les yeux, mais celui que définissent les successions de la syntaxe.”


La leader


À l’âge de onze ans, je décide de suivre mon premier vrai cours de peinture, celui en dehors du réseau scolaire. À l’époque, je peins des représentations minutieuses de la nature. Douze ans plus tard, après maints revirements de styles et d’expérimentations, je peins toujours des paysages. Cette fois-ci, il prend d’autres avenues, celles des interrogations théoriques et d’applications sociales. Cette idée de manufacture m’est apparue nécessaire à travers ma démarche artistique, qui se résultait physiquement, par une production de paysages en série peinte à la main et d’une suite de performance urbaine.

Au fil du temps, j’ai su développer mon pouvoir mobilisateur, ma débrouillardise et ma capacité de persuasion. D’ailleurs, à 16 ans, l’élément déclencheur aura été de créer et d’organiser un événement artistique : «Coral’art». Un symposium regroupant des artistes professionnels de diverses disciplines, d’enseignants et d’étudiants à la Polyvalente Marie-Rivier de Drummondville.

Je détiens un réseau de contact varié et pouvant me soutenir dans les domaines des communications & marketing, de la justice, du droit, de la logistique de production en usine, de la psychologie et plusieurs autres.

D’ailleurs, mon équipe de gestion et d’administration a des caractéristiques complémentaires à celles que je possède. La complémentarité de cette fusion contribuera certainement à l’effervescence de l’Usine.


Formation


Au niveau académique, j’ai une formation technique en communication au Cégep de Jonquière en Arts et Technologie des Médias (option création publicitaire), puis universitaire en Arts Visuels et Médiatiques à l’UQAM ainsi qu’en Gestion d’organismes culturels aux Hautes Études Commerciales.

Parallèlement, je prends part à des expositions individuelles et collectives. En effet, j’ai participé à l’exposition Portes-Ouvertes, à Attroupement inévitable ainsi qu’individuellement à « C. c. : Copie conforme » au Café des arts de l’Université du Québec à Montréal. J’ai également à mon actif quelques interventions d’art urbain dans des événements avec le collectif B.L.A.G. tel le P’tit rire Jaune à Québec et lors de l’événement Pique-nique au Parc Lafontaine à Montréal pour ne nommer que ceux-ci. Par ailleurs, j’ai enseigné les arts dans un organisme pour jeunes handicapés physiques, Les Loisirs Soleil. Enfin, je détiens de l’expérience professionnelle en gestion de projet, en recherche de diffusion, en communication et en développement de marché pour diverses entreprises.


Recherches et influences : le paysage, icône revisitée


Ça n’est pas par hasard que l’obsession paysagère est devenue le coeur d’une usine. Issus du milieu rural et ouvrier, mes motifs personnels sont également d’ordre artistique, philosophique, environnemental et même publicitaire.

L'Usine interroge la finalité d'une oeuvre dans un contexte de multiplicité de l’image. Sa temporalité, reliée aux séquences d’images télévisuelles ou plus largement la série, est mise de l’avant comme moyen de procéder à des questionnements. Or, cette icône revisitée dévoile une multitude de possibilités visuelles; révélant systématiquement l’unique et le semblable. Ainsi, par ces hypothèses, l'Usine questionne les composantes logiques du tableau: sa valeur, son rôle, etc. Mona Hakim, critique d'art et commissaire indépendante, explique bien l’appropriation d’un ancien genre pictural: « En fait, en s’appropriant les motifs de l’histoire de l’art, ces œuvres oscillent entre la sécurité de la tradition et l’insécurité du présent sans se priver pour autant du jeu de la séduction. »

Dans le même ordre d’idées, le publiciste Robert Palmer classe en treize champs d’intérêt les scènes qui attirent le plus le lecteur . Les paysages sont classés au onzième rang. Cette donnée amène cette représentation de la nature comme une image qui plaît généralement à une majorité. Bref, c’est une image populaire qui séduit les gens. Il s’avère justement que l’Usine vise cette masse démographique. Elle cherche à séduire un marché de masse en lui présentant une représentation connue, appréciée et accessible afin de l’initier au monde des arts actuels, à sa culture. Par contre, ma production personnelle de paysages, est un produit de prestige qui s’adresse à un marché cible de collectionneurs.

Le collectif d’artistes Komar et Mélamide (les virgules sont de trop, on ne peut pas séparer le sujet de son verbe comme ça) contribua également à classer le paysage comme image désirée . Ce collectif sonda la population mondiale via le réseau internet. Les questions étaient d’ordre esthétique sur la peinture. Ils demandaient par exemple : votre couleur préférée, le style favori, la saison, le réalisme versus l’abstrait, etc. Après avoir sondé environ 14 pays, dont la Chine, le Danemark, la France et les États-Unis, une redondance revient: le paysage. Plus précisément un paysage classique dans sa composition.

Le Canadien Edward Brutynski avec Manufacturing landscape questionne l’intervention humaine sur les paysages en présentant des photos d’usines, de mines et de dépotoirs . Également, Monet, peintre reconnu pour son impressionnisme, peignait souvent le même paysage, la même scène, pour ainsi être en mesure de capter la lumière à différentes heures de la journée. Plus abstrait, il y a aussi Daniel Buren qui exploite de manière infinie un motif récurrent.

Ainsi, c’est au fil de ces recherches théoriques que le paysage typique de l’Usine commença à se former. Montagne en haut à droite et plan d’eau en bas à gauche, les 2 éléments de bases. S’en suit la ligne d’arbre, le ciel, la plage ou la terre. Plus tard, des éléments graphiques et typiques du langage publicitaire apparaîtront pour finalement former l’affiche-paysage de la manufacture.


La marque

Utilisé au singulier, le Paysage devient une image récurrente, une marque à reconnaître. L’intérêt pour la manufacture est également de comparer chaque Paysage (chaque performance/manufacture) afin de comprendre ce qui caractérise chaque groupe de travail ayant participé. La marque devient ainsi plus qu’une simple image, mais bien un outil d’étude.

Le groupe Doyon Rivest est un duo d’artiste qui tente de convaincre le spectateur de sa marque qui finalement n’est qu’une image corporative dénudée de produit. Leurs images empruntent l’esthétique et le langage publicitaire : “Le cœur de notre production consiste en la création de notre propre marque et en l’utilisation de celle-ci comme mode de communication. Notre logo/signature en est la pierre angulaire. De par sa nature bicéphale (l’un des directeurs artistiques est issu des arts visuels, l'autre du design graphique), Doyon-Rivest tente de joindre deux approches de travail différentes et mises sur cette ouverture interdisciplinaire pour questionner à la fois les enjeux de l’art contemporain et ceux du monde publicitaire. »

L’Usine tend également à interroger les (et non pas ces si tu veux dire cités ci-dessus) enjeux cités ci-dessus. Précisément, elle s’intéresse au phénomène de multiplicité de l’image. Elle interroge le rôle de la peinture dans ce contexte historique en effet, c’est au début de l’ère industrielle et au commencement de la mécanisation que l’image multiple reproduite parfaitement devient possible. (Walter Benjamin) « ll est du principe de l'oeuvre d'art d'avoir toujours été reproductible. Ce que des hommes avaient fait, d'autres pouvaient toujours le refaire. Ainsi, la réplique fut pratiquée par les maîtres pour la diffusion de leurs oeuvres, la copie par les élèves dans l'exercice du métier, enfin le faux par des tiers avides de gain. » « L'original, en regard de la reproduction manuelle, dont il faisait aisément apparaître le produit comme faux, conservait toute son autorité; or, cette situation privilégiée change en regard de la reproduction mécanisée. » Ce que Walter Benjamin perçut est encore actuel, surtout dans les villes où le paysage urbain est graduellement envahi par l’image. L’Usine contribue à augmenter cet effet, mais en amenant un élément de la nature et en la réalisant manuellement. Elle espère par cela créer un bouleversement dans le quotidien des gens.


Impacts sociaux artistiques


Nicolas Bourriaud dans Esthétique relationnelle amène: « L’art est un état de rencontre » . Cette approche ne date pas d’hier; les minimalistes stipulaient que le regardeur achevait l’œuvre et que, c’est à travers cette relation d’échange que l’art se construit. Il n’est pas rare, dans les pratiques contemporaines, d’insérer l’action artistique au sein du quotidien des gens, hors du contexte muséal généralement clos. Ainsi, « L’artiste incite le « regardeur » à prendre place dans l’œuvre, à la faire vivre, à compléter le travail et à participer à l’élaboration de son sens. »

Dans le même ordre d’idées, les activistes précisent en disant: “L'artiste a un rôle fondamental, c'est celui de nourrir chez le citoyen le sentiment qu'on n'est pas des choses, mais des sujets agissants.» Bref, les artistes activistes engagent le spectateur dans une expérience sensible de la perception.

Dans la même voie, Annie Roy de l'Action terroriste socialement acceptable (ATSA) mentionne : «C'est important que les manifestations artistiques soient accessibles à tous, qu'elles se développent dans des lieux qui ont un sens avec leur thématique »10 Ce sont ces réflexions bouillonnantes comme celles-ci qui permettent à certains d’agir. On n’a qu’à penser au Rebut Global , à Manon Barbeau et sa Wapikoni Mobile ou encore à des artistes montréalais comme Sylvie Cotton, ou le collectif Au travail / at work.

De plus, derrière l’idée de sortir l’art de son cadre traditionnel, il y a l’idée du territoire. À l’Usine, les paysages constitués lors des manufactures sont des portraits de performances: la trace qui marque le territoire et l’implication d’une communauté.
Nous visons à rallier directement:
•les commerçants qui souhaitent participer à un projet de revalorisation culturelle régionale;
•les artistes professionnels et émergents de toutes disciplines afin de leur offrir une visibilité notoire ainsi que d’éventuels partenariats d’affaires avec leurs collègues;
•la population qui désire s’impliquer dans un projet collectif ayant pour objectif de valoriser leur culture locale.


Théorie du management et l’Usine à Paysage


Comme mentionné, ce fut au départ une réflexion sur le processus créatif ou plus précisément la poétique comme l’appel Paul Valéry. Au fil du temps, les questionnements ont pris de nouvelles tangentes en comparant le travail d’atelier au travail d’usine et à la division du travail en général. En référence à Taylor, nous pouvons parler ici de “Science du paysage” ou encore, de “l’organisation scientifique du paysage”. Ford et son modèle T, les fabriques de porcelaines et les usines à paysages chinoises sont quelques exemples qui ont motivé cette rencontre. C’est la tradition du travail industriel datant du début du siècle et des modèles comme Taylor, Smith et Fayol que l‘Usine à Paysage tend à questionner le monde du travail. Elle le fait d’abord en mettant en parallèle le travail d’ouvrier à la chaîne à celui de l’artiste seul dans son atelier. Elle le fait également en annexant les approches traditionnelles du travail à celles actuelles étroitement liées avec le développement durable et les méthodes participatives de gestion.

Après la schématisation du Paysage en 8 éléments constitutifs, les spécialistes se mettent au travail. Il est intéressant de constater l’évolution du geste et de l’attitude du travailleur. Au départ, il réfléchit à la méthode la plus efficace en s’appliquant minutieusement à faire le geste demandé. Puis, plus la chaîne tourne, plus le travail devient une routine jusqu’à l’aliénation totale. Dans le cas de l’Usine, il est intéressant de constater qu’au stade d’aliénation, c’est-à-dire le moment où l’ouvrier oublie le geste devenant un conditionnement automatique, le spécialiste commence à prendre en considération le contexte dans lequel il évolue et les gens qui l’entourent. C’est à ce moment-là que la socialisation commence, et que le véritable objectif de l’Usine à Paysage débute. C’est en quelque sorte un détournement de la fonction. Ainsi, comme Adam Smith et son épingle, le Paysage est décortiqué, mais cette fois-ci, d’un point de vue qui dépasse ses objectifs: “accélération de la production et le gain de temps, l’augmentation des habiletés, l’amélioration de la capacité à innover.”

Comme le mentionne Babbage, “Plus on rendra ces gestes et capacités simples et à la portée de n’importe qui ayant un minimum de prédispositions (par exemple physique si la tâche nécessite de la force), moins cher on payera le travail.”10 ici, le but n’est pas le moindre coût du travailleur, mais bien l’accessibilité à l’emploi. Bon nombre de gens considèrent qu’ils n’ont aucun talent en peinture. En simplifiant la tâche de cette manière, ceux-ci sont dégagés de cette contrainte et peuvent mettre les mains à la pâte. Cette approche vise à démocratiser le travail artistique. Cependant, je tiens à préciser que la manufacture n’est pas un cours de paysages ou de peinture, mais bien un prétexte à la rencontre avec l’art.


Développement durable


De nos jours, il serait impensable d’implanter une nouvelle entreprise sans se soucier de la cause sociale et environnementale. L’Usine à Paysage cherche justement à promouvoir ces pratiques de management vert, tel qu’il a été stipulé par Aktouf. À l’interne, c’est en créant un produit réalisé à l’aide de procédés techniques donnant priorité à la réutilisation de matériaux, par exemple de vieilles campagnes publicitaires ou encore de la peinture commerciale non consommée. Également, cette méthode de gestion sera introduite dans toutes les sphères nécessaires au bon fonctionnement de l’Usine: production, marketing, finance, gestion des ressources humaines, gestion des opérations. À l’externe, c’est surtout en favorisant des partenariats d’affaires avec des entreprises vertes. L’idée, c’est d’unir l’art, l’entreprenariat et l’environnement.

Un management personnalisé

Je crois fermement que c’est le dirigeant qui fait l’entreprise. Plusieurs professeurs aux HEC, que ce soit M. Le Louarn, M. Lapierre ou encore Mme Bédard, semblent d’accord à l’idée du management personnalisé. Afin d’atteindre les objectifs visés par un bon gestionnaire, il est souhaitable dans un premier temps d’établir les valeurs de base, car toutes les actions futures découleront de celles-ci. L’Usine à Paysage entend donc agir en mettant de l’avant quatre valeurs primordiales : le respect (de soi, des autres, de l’environnement), l’authenticité, l’intégrité (du produit et de son personnel) et l’humanité.

L’Usine et son leader sont convaincus de la pertinence et la nécessité de rallier les gens. L’entreprise croit que c’est en collectivité que l’apprentissage évolue. Et comme dit Joseph Beuys, « l’art c’est la vie », et j’enchère avec Robert Filiou affirmant « l’art, c’est ce qui rend la vie plus intéressante que l’art ».


Conclusion


Je ne prétends aucunement réinventer la roue en émettant ce projet d’entreprise. Je tends surtout à rallier des gens autour d’un projet, d’une cause commune. A priori, l’idée peut sembler tout à fait incongrue, mais, vous l’aurez j’espère constaté, tient la route.

L’Usine souhaite simplement créer un réseau autour du Paysage afin de construire et d’affirmer sa position sur les sujets environnementaux, sociaux, artistiques et entreprenarials.

Cet événement répond au besoin de visibilité des artistes et au besoin d’une collectivité de participer à un projet social, à un rassemblement qui favorise le sentiment d’appartenance à une communauté, à une culture. Ainsi, le défi premier sera de regrouper artistes (professionnels et émergents), publics (initiés et non-initiés aux arts visuels) ainsi que les entreprises désirant devenir partenaire afin de produire ces peintures en séries.

Prendrez-vous part à cet événement?



Tom Thirtle a dit un jour : « Un objectif, c'est un rêve avec une date de réalisation »
— Lancement officiel de l’Usine à Paysage le jeudi 28 février 2008 —




Audrey Beauchemin
Direction générale et artistique, Usine à Paysage
audrey@usineapaysage.com




Références

Livres et périodiques:

AKTOUF, Omar. Le management entre tradition et renouvellement, Gaëtan morin éditeur, Montréal, 2006.

BEUYS, Joseph,

BENJAMIN, Walter. L’œuvre d’art à l’époque de sa reproduction mécanique,

BOURRIAUD, Nicolas. Esthétique relationnelle, Les presses du réel, Dijon, 1998.

DOYON, Frédérique. Où est passée la contestation?, Le Devoir, Édition du samedi 8 et du dimanche 9 septembre 2007

DUPONT, Luc, 1001 Trucs publicitaires, collection les affaires, Montréal, p.155.

FOUCAULT, Michel, Les mots et les choses, Galimard, 2001, (1966)

PASSERON, René. La naissance d’Icare, Éléments de poïétique générale, ae2cg Éditions, 1996.


Sites Internet :

BURTYNSKY, Edward, son site officiel, www.edwardburtynsky.com

BUREN, Daniel, Site officiel, www.danielburen.com

COLLECTIF DOYON RIVEST : www.doyonrivest.com

KOMAR & MÉLAMIDE, The mostwanted paintings on the web, http://www.diacenter.org/km/ http://www.komarandmelamid.org/, Dia center for the arts, 1995.

L’ATSA, Site officiel, www.atsa.qc.ca

REBUT GLOBAL, Site officiel, www.rebut global.tv

WAPIKONI MOBILE, Site officiel, www.onf.ca/aventures/wapikonimobile/excursionWeb/

WIKIPEDIA, encyclopédie libre, Analyse du livre Esthétique relationell, fr.wikipedia.org/wiki/Nicolas_Bourriaud


Expositions

HAKIM, Mona. Vanités, regards sur la nature morte contemporaine, Galerie de l’UQAM, Montréal, 1998

Performances et activités de l’Usine à Paysage

Site officiel du P’tit rire jaune : www.leptitrirejaune.com

Site officiel de l’événement Pique-Nique : www.piquenique.org

VIDÉO:http://www.youtube.com/profile_video_blog?sid=E9525D1B9F172476&id=E002794EE19D1CFC

SITE WEB: http:// www.pingpongsansfrontiere.blogspot.com

1 commentaire:

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